jeudi 3 octobre 2013

A quien se muda,dios lo ayuda

Me voici de retour à Bernay après un séjour bénéfique à Cannes.Comme vous le savez à présent,ce petit saut s'est déroulé à merveille et me voilà à présent dans un tout autre univers.

Bernay, en Normandie, est une petite sous-préfecture de l'Eure d'environ 10 000 habitants.Plus grosse qu'un village, plus petit qu'une ville, c'est ce que l'historien Fernand Braudel qualifirait de gros bourg dans son ouvrage l'identité de la France.Elle a vu la naissance de Daviel, l'inventeur de l'opération de la cataracte,du patissier Gaston Lenôtre et l'enfance de la chanteuse Edith Piaf.J'y retrouve mes petites habitudes, dont le torréfacteur La Brûlerie.

Cet établissement, pendant mon abscence, a connu un événement important. Le propriétaire, Sébastien Lerat, commerçant très dynamique et parti de presque rien, a gagné à Colmar la place de premier torréfacteur de France. Il m' a fait découvert, avec son apprenti, les différents crus de café, goût déjà préparé par mon père ancien restaurateur limonadier boulevard Jean Hibert à Cannes.

Enfin, pour faire bref,tous ces déplacements sont bienfaisants. La découverte de monde différents à Paris (trois semaines en août), Bernay et Cannes requinquent l'esprit et la santé.

Un proverbe espagnol le dit bien, A quien se muda, dios lo ayuda.

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