Chers internautes et chers amis de mon blog,
J'ai assisté cet après-midi au Cannet-Rocheville à un match de football de division d'honneur entre l' ESCR, l' équipe locale, et une équipe de Marseille.
Le match, après une domination du Cannet-Rocheville et de multiples occasions, s'est terminé par une défaite de cette équipe. J'ai pu voir aussi que la condition physique au cours de cette compétition n'était pas la même que celle d'une équipe professionnelle.
Mais il y a quelque chose que je veux vous dire. Le public, peu nombreux, se connaissait, et l' ambiance était intime et bon enfant. Les enjeux étaient d'ailleurs peu importants et le stress des joueurs et de l'assistance n'était pas énorme.
Pour tout dire, cela a été quelque chose de très intéressant à observer, sur le plan sportif comme sur le plan humain des footballeurs et des spectateurs. Attendant d'autres impressions, je vous dis, chers fidèles, à bientôt.
dimanche 27 avril 2014
samedi 26 avril 2014
ce samedi matin, au Marché Forville à Cannes
Chers internautes et chers amis du blog arnaudchenu.blogspot.com,
Cette matinée du samedi a été marquée par ma présence au marché Forville à Cannes.
C'est un lieu d' animation et de commerce de la cité, où des produits divers et variés du terroir et d' ailleurs sont vendus, et où de nombreux Cannois s'y rendent.
Mon père et moi y avons d'ailleurs retrouvé de vieilles connaissances, et ces retrouvailles qui ont été très chaleureuses se sont passées chez un traiteur-restaurateur, la Cuisine d' aqui. Tout s'y est passé à merveille et on se prépare moi et mon père à déguster ce soir une daube de poulpe accompagnée de vin rosé.
L'après-midi ayant été marqué pour moi par une visite du marché à la broquante des Allées, je vous dis, chers fidèles internautes, à bientôt.
Cette matinée du samedi a été marquée par ma présence au marché Forville à Cannes.
C'est un lieu d' animation et de commerce de la cité, où des produits divers et variés du terroir et d' ailleurs sont vendus, et où de nombreux Cannois s'y rendent.
Mon père et moi y avons d'ailleurs retrouvé de vieilles connaissances, et ces retrouvailles qui ont été très chaleureuses se sont passées chez un traiteur-restaurateur, la Cuisine d' aqui. Tout s'y est passé à merveille et on se prépare moi et mon père à déguster ce soir une daube de poulpe accompagnée de vin rosé.
L'après-midi ayant été marqué pour moi par une visite du marché à la broquante des Allées, je vous dis, chers fidèles internautes, à bientôt.
jeudi 24 avril 2014
à Cannes, à la visite du Palais des Festivals
Chers internautes et chers fidèles,
Me voici désormais de retour à Cannes, où je retrouve mes habitudes. Mais c'est de cet après-midi du vendredi 24 avril dont je vais vous parler à présent.
Cette journée a en effet été marquée par une visite du Palais des Festivals de Cannes, organisée par l'office du tourisme. Le trajet fut le suivant: d'abord, l'entrée du palais, ensuite le théatre Debussy, puis le grand auditorium Louis Lumière où a lieu la grand-messe du Festival du Film, et enfin la salle des ambassadeurs d'où on voit une vue magnifique sur Cannes.
La visite fut commentée par une guide-conférencière de l'office du tourisme, qui était d'ailleurs très professionnelle. L'histoire du Festival du Film était souvent évoquée de manière habile et passionnante, de même que l' histoire du site du Casino Municipal au bâtiment actuel. La fonction des salles de spectacle et de congrès était pareillement très bien expliquée et le rôle important de l' économie, du tourisme et de l'image de marque n'était pas oublié, de même que les enjeux financiers.
Pour tout dire, cette visite a été passionnante, fascinante, voire émouvante par bien des aspects, effectuée par une guide-conférencière très compétente, aimant son métier, mais je l'avoue, un peu trop professionnelle. Attendant de nouvelles impressions, je vous dis, chers amis internautes, à bientôt.
Me voici désormais de retour à Cannes, où je retrouve mes habitudes. Mais c'est de cet après-midi du vendredi 24 avril dont je vais vous parler à présent.
Cette journée a en effet été marquée par une visite du Palais des Festivals de Cannes, organisée par l'office du tourisme. Le trajet fut le suivant: d'abord, l'entrée du palais, ensuite le théatre Debussy, puis le grand auditorium Louis Lumière où a lieu la grand-messe du Festival du Film, et enfin la salle des ambassadeurs d'où on voit une vue magnifique sur Cannes.
La visite fut commentée par une guide-conférencière de l'office du tourisme, qui était d'ailleurs très professionnelle. L'histoire du Festival du Film était souvent évoquée de manière habile et passionnante, de même que l' histoire du site du Casino Municipal au bâtiment actuel. La fonction des salles de spectacle et de congrès était pareillement très bien expliquée et le rôle important de l' économie, du tourisme et de l'image de marque n'était pas oublié, de même que les enjeux financiers.
Pour tout dire, cette visite a été passionnante, fascinante, voire émouvante par bien des aspects, effectuée par une guide-conférencière très compétente, aimant son métier, mais je l'avoue, un peu trop professionnelle. Attendant de nouvelles impressions, je vous dis, chers amis internautes, à bientôt.
mardi 22 avril 2014
sur la route de Cannes
Chers internautes et chers amis,
Me voici de retour à Cannes où j' ai déjà de nombreuses impressions à vous faire partager, et que vous pourrez communiquer, comme tous les bulletins de mon blog.
1050 kilomêtres d'autoroute ont jalonné mon trajet de Bernay à Cannes, trajet dont je connais désormais tous les points de repère. Ceux-ci, comme le Tour de France, constituent une véritable découverte du paysage français qui va des plaines de Normandie aux garrigues de Provence, en passant par Beaune et les villages de Bourgogne, et les vignobles de Côtes Rôties après Lyon. C'est un parcours quasi charnel qui permet de percevoir un pays.
Mais ce n'est pas tout. Approchant de Cannes, une véritable luminosité, teintée d' Azur, le pays mérite d'ailleurs bien le surnom donné par Stephen Liégeard, qui m'est apparue. La baie de Cannes, les Iles de Lérins, le boulevard du Midi et ses joggers parculièrement nombreux m'ont immédiatement marqué.
En bref, je découvre à nouveau un tout autre univers. Je pense avoir environ deux semaines pour le redécouvrir, ce qui est peu, et faire partager de nouvelles impressions.
Pensant discuter de nouveau avec vous, je vous dis, chers fidèles internautes, à bientôt.
Me voici de retour à Cannes où j' ai déjà de nombreuses impressions à vous faire partager, et que vous pourrez communiquer, comme tous les bulletins de mon blog.
1050 kilomêtres d'autoroute ont jalonné mon trajet de Bernay à Cannes, trajet dont je connais désormais tous les points de repère. Ceux-ci, comme le Tour de France, constituent une véritable découverte du paysage français qui va des plaines de Normandie aux garrigues de Provence, en passant par Beaune et les villages de Bourgogne, et les vignobles de Côtes Rôties après Lyon. C'est un parcours quasi charnel qui permet de percevoir un pays.
Mais ce n'est pas tout. Approchant de Cannes, une véritable luminosité, teintée d' Azur, le pays mérite d'ailleurs bien le surnom donné par Stephen Liégeard, qui m'est apparue. La baie de Cannes, les Iles de Lérins, le boulevard du Midi et ses joggers parculièrement nombreux m'ont immédiatement marqué.
En bref, je découvre à nouveau un tout autre univers. Je pense avoir environ deux semaines pour le redécouvrir, ce qui est peu, et faire partager de nouvelles impressions.
Pensant discuter de nouveau avec vous, je vous dis, chers fidèles internautes, à bientôt.
dimanche 20 avril 2014
sur les origines du tourisme, de Bernay à Cannes
Chers internautes et chers fidèles,
Avant mon éventuel départ pour Cannes, j'aimerais vous reparler d'une exposition de Bernay qui m'a particulièrement enthousiasmé. Je l'ai déjà évoquée le 11 février 2014 sur ce blog arnaudchenu.blogspot.com et qui s'intitule "Voyage en images au siècle des lumières".
Organisée par le Musée des Beaux-Arts de Bernay, dans la salle capitulaire, cette expositions est constituée d'une cinquantaine de gravures du XVIIIè siècle, de vue d' optique plus précisément, qui montrent les différentes étapes du "Grand Tour" effectué par les élites anglaises de l' époque. Ces villes d' Europe sont finement montrées, de la galerie des Offices de Florence, de la fontaine de Trévi et du Panthéon à Rome, de la place Saint-Marc de Venise, villes où je me suis rendu, à la Marienplatz de Munich et à la cathédrale Saint-Etienne de Vienne, en partant des monuments de Londres et en repartant par la Hollande.
Ces gravures, finement ciselées, montrent les principaux monuments des villes et l'aspect commercial des ports, ce que j'ai indiqué sur mon blog le 11 février 2014. Une visite guidée organisée par le musée m'a également appris de nombreuses choses sur ces images. D'abord, ce sont des peintres tels Canaletto, qui ont inspiré ces gravures. Ensuite, nous voyons que ces images étaient de véritables reportages sur les villes et les sites de l'époque. Puis, nous avons pu observer que les voyageurs s' intéressaient plutôt au contemporain de leur époque. Enfin et surtout, on voit bien que le "Grand Tour", de ces élites anglaises, est la lointaine origine du Tourisme, lequel a profité à ma ville d'origine, Cannes.
Finalement, ces "vues d' optique" exposées par le musée de Bernay, par le lien avec la naissance du tourisme, ce qui a un rapport avec la ville de Cannes. Espérant de prochaines impressions, je vous dis, chers internautes et chers amis, à bientôt.
Avant mon éventuel départ pour Cannes, j'aimerais vous reparler d'une exposition de Bernay qui m'a particulièrement enthousiasmé. Je l'ai déjà évoquée le 11 février 2014 sur ce blog arnaudchenu.blogspot.com et qui s'intitule "Voyage en images au siècle des lumières".
Organisée par le Musée des Beaux-Arts de Bernay, dans la salle capitulaire, cette expositions est constituée d'une cinquantaine de gravures du XVIIIè siècle, de vue d' optique plus précisément, qui montrent les différentes étapes du "Grand Tour" effectué par les élites anglaises de l' époque. Ces villes d' Europe sont finement montrées, de la galerie des Offices de Florence, de la fontaine de Trévi et du Panthéon à Rome, de la place Saint-Marc de Venise, villes où je me suis rendu, à la Marienplatz de Munich et à la cathédrale Saint-Etienne de Vienne, en partant des monuments de Londres et en repartant par la Hollande.
Ces gravures, finement ciselées, montrent les principaux monuments des villes et l'aspect commercial des ports, ce que j'ai indiqué sur mon blog le 11 février 2014. Une visite guidée organisée par le musée m'a également appris de nombreuses choses sur ces images. D'abord, ce sont des peintres tels Canaletto, qui ont inspiré ces gravures. Ensuite, nous voyons que ces images étaient de véritables reportages sur les villes et les sites de l'époque. Puis, nous avons pu observer que les voyageurs s' intéressaient plutôt au contemporain de leur époque. Enfin et surtout, on voit bien que le "Grand Tour", de ces élites anglaises, est la lointaine origine du Tourisme, lequel a profité à ma ville d'origine, Cannes.
Finalement, ces "vues d' optique" exposées par le musée de Bernay, par le lien avec la naissance du tourisme, ce qui a un rapport avec la ville de Cannes. Espérant de prochaines impressions, je vous dis, chers internautes et chers amis, à bientôt.
vendredi 18 avril 2014
les Alpes-Maritimes vues par l'émission Thalassa sur France 3
Chers internautes et chers fidèles de mon blog,
C'est de l'émission Thalassa de ce vendredi soir, sur France 3, que je vais vous parler cette fois-ci. Celle-ci avait pour thème ma région d'origine et pour titre "Alpes-Maritimes, entre mer et montagne".
Une série de reportages émaillaient cette émission. D'abord, une évocation de la Nice anglaise, russe, et piémontaise. Puis un reportage sur la sanctuaire PELAGOS sur les cétacées de Méditerranée. Le troisième reportage était passionnant sur les îles de Lérins, et évoquait avec plaisir le fort et les forêts de Sainte Marguerite, puis le monastère cistercien de Saint-Honorat, avec l'éternel Frère Marie-Pâques. Il y eut ensuite un reportage sur les régates déjà évoquées le 28 septembre 2013 sur ce blog. Cette passionnante émission s'est terminée par une séquence sur la vallée de la Roya et la route du sel, avec des images impressionnantes des villages du haut-pays.
Toute cette émission a montré la diversité d'une région, sans les défauts bien entendus. Bien que ce numéro de Thalassa était un peu long, tout s'y enchaînait, et était une bonne approche de la région, comme le dit le titre, entre mer et montagne. Pour tout dire, ceci était bien fait et j' éspère que ce sera une bonne aproche de mon retour prochain de Bernay à Cannes.
En conclusion, on peut vraiment dire que l'émission Thalassa sur France 3 est un exemple de didactisme éclairé tout en restant accessible au grand public. Attendant de nouvelles impressions, chers internautes et chers amis, je vous dis à bientôt.
C'est de l'émission Thalassa de ce vendredi soir, sur France 3, que je vais vous parler cette fois-ci. Celle-ci avait pour thème ma région d'origine et pour titre "Alpes-Maritimes, entre mer et montagne".
Une série de reportages émaillaient cette émission. D'abord, une évocation de la Nice anglaise, russe, et piémontaise. Puis un reportage sur la sanctuaire PELAGOS sur les cétacées de Méditerranée. Le troisième reportage était passionnant sur les îles de Lérins, et évoquait avec plaisir le fort et les forêts de Sainte Marguerite, puis le monastère cistercien de Saint-Honorat, avec l'éternel Frère Marie-Pâques. Il y eut ensuite un reportage sur les régates déjà évoquées le 28 septembre 2013 sur ce blog. Cette passionnante émission s'est terminée par une séquence sur la vallée de la Roya et la route du sel, avec des images impressionnantes des villages du haut-pays.
Toute cette émission a montré la diversité d'une région, sans les défauts bien entendus. Bien que ce numéro de Thalassa était un peu long, tout s'y enchaînait, et était une bonne approche de la région, comme le dit le titre, entre mer et montagne. Pour tout dire, ceci était bien fait et j' éspère que ce sera une bonne aproche de mon retour prochain de Bernay à Cannes.
En conclusion, on peut vraiment dire que l'émission Thalassa sur France 3 est un exemple de didactisme éclairé tout en restant accessible au grand public. Attendant de nouvelles impressions, chers internautes et chers amis, je vous dis à bientôt.
mercredi 16 avril 2014
une conférence à Bernay sur la légende dorée des églises
Chers internautes et chers amis de mon blog,
Ce mercredi après-midi fut pour moi l'occasion de me rendre à une conférence organisée par le musée de Bernay, qui était exposée par Barbara Auger et qui avait pour titre La légende dorée des églises, de la technique à la signification des décors sculptés dans les églises.
Comme tous les après-midi de l'histoire de l'art, cette conférence avait eu lieu au premier étage du musée, dans une salle d'exposition, avec quelques spectateurs et dans un cadre intime. Il y avait de plus, comme toujours, un rétroprojecteur.
Après avoir expliqué les bases de La légende dorée, la Legenda aurea, de Jacques de Voragine, Barbara Auger, la conférencière, a exposé les principes des architectures mérovingienne, carolingienne, romane et gothique, avec leurs caractéristiques et leurs sujets symboliques. La conférence s'est terminée par les exemples de l' abbatiale de Bernay et la basilique de Vézelay.
Cet exposé, clair, synthétique et bien fait a rapporté l' adhésion du public, et il n'y avait rien à redire. Attendant de nouvelles impressions, chers internautes et chers fidèles, je vous dis à bientôt.
Ce mercredi après-midi fut pour moi l'occasion de me rendre à une conférence organisée par le musée de Bernay, qui était exposée par Barbara Auger et qui avait pour titre La légende dorée des églises, de la technique à la signification des décors sculptés dans les églises.
Comme tous les après-midi de l'histoire de l'art, cette conférence avait eu lieu au premier étage du musée, dans une salle d'exposition, avec quelques spectateurs et dans un cadre intime. Il y avait de plus, comme toujours, un rétroprojecteur.
Après avoir expliqué les bases de La légende dorée, la Legenda aurea, de Jacques de Voragine, Barbara Auger, la conférencière, a exposé les principes des architectures mérovingienne, carolingienne, romane et gothique, avec leurs caractéristiques et leurs sujets symboliques. La conférence s'est terminée par les exemples de l' abbatiale de Bernay et la basilique de Vézelay.
Cet exposé, clair, synthétique et bien fait a rapporté l' adhésion du public, et il n'y avait rien à redire. Attendant de nouvelles impressions, chers internautes et chers fidèles, je vous dis à bientôt.
dimanche 13 avril 2014
sur l' agonie d' une monarchie Autriche-Hongrie 1914-1920
Chers internautes et chers amis,
J' aimerais vous parler en ce moment d' un livre d' un professeur émérite de la Sorbonne publié récemment. En voici le titre: L' agonie d' une monarchie Autriche-Hongrie 1914-1920 de Jean-Paul Bled paru aux éditions Tallandier.
Cet ouvrage relate selon un plan chronologique la guerre vue de la monarchie des Habsbourg, des origines du conflit et de l' attentat de Sarajevo à son tragique dénouement, sans oublier les sursauts de l' Empire.
Plusieurs choses ressortent de ce livre. L'éternisation du conflit, qui y est bien décrit, a révélé les faiblesses de la Double-Monarchie qui ne s'en est pas remise. D' abord, les tendances nationalistes de cet ensemble aux multiples peuples ont été exarcerbées. Ensuite, les difficultés de l' armée austro-hongroise ont entrainés la vassalisation à l' Empire allemand. Enfin, la désorganisation de l'économie due à la guerre a été la cause d' importantes crises de ravitaillement, voire de quasi-famine. Tous ces facteurs liés les uns aux autres ont enclanché un engrenage face auquel l'infortuné empereur Charles, malgré ses tentatives, n' a pu faire face.
Pour tout dire, ce livre décrit avec brio la fin de la monarchie danubienne dont les conséquences ont été énormes. J'en rapelle le titre et l'auteur, L'agonie d'une monarchie Autriche-Hongrie 1914-1920 de Jean-Paul Bled aux éditions Tallandier.
J' aimerais vous parler en ce moment d' un livre d' un professeur émérite de la Sorbonne publié récemment. En voici le titre: L' agonie d' une monarchie Autriche-Hongrie 1914-1920 de Jean-Paul Bled paru aux éditions Tallandier.
Cet ouvrage relate selon un plan chronologique la guerre vue de la monarchie des Habsbourg, des origines du conflit et de l' attentat de Sarajevo à son tragique dénouement, sans oublier les sursauts de l' Empire.
Plusieurs choses ressortent de ce livre. L'éternisation du conflit, qui y est bien décrit, a révélé les faiblesses de la Double-Monarchie qui ne s'en est pas remise. D' abord, les tendances nationalistes de cet ensemble aux multiples peuples ont été exarcerbées. Ensuite, les difficultés de l' armée austro-hongroise ont entrainés la vassalisation à l' Empire allemand. Enfin, la désorganisation de l'économie due à la guerre a été la cause d' importantes crises de ravitaillement, voire de quasi-famine. Tous ces facteurs liés les uns aux autres ont enclanché un engrenage face auquel l'infortuné empereur Charles, malgré ses tentatives, n' a pu faire face.
Pour tout dire, ce livre décrit avec brio la fin de la monarchie danubienne dont les conséquences ont été énormes. J'en rapelle le titre et l'auteur, L'agonie d'une monarchie Autriche-Hongrie 1914-1920 de Jean-Paul Bled aux éditions Tallandier.
vendredi 11 avril 2014
escapade à Rouen
Chers internautes et chers amis de mon blog,
La matinée de ce vendredi a été marquée par une escapade à Rouen, capitale de la Normandie et deuxième ville du Royaume sous l' Ancien Régime.
J'ai pu effectuer un véritable circuit dans cette cité d'à présent 120 000 habitants. Celui-ci s'est composé d'une observation du Palais de Justice, qui était le siège de l' Echiquier de Normandie devenu en 1515 Parlement de Rouen, de l' Abbaye de Saint-Ouen, de l' église Saint-Maclou à l' architecture si particulière, de la Cathédrale Notre-Dame, du Gros-Horloge riche en symbolique et enfin de la Place du marché où Jeanne d'Arc a subit son martyre.
Tout dans cette ville respire l' architecture du gothique flamboyant, la cité ayant connu son apogée en 1450 et 1550. On peut d'ailleurs s'y repérer en regardant les tours gothiques qui surplombent la ville. On peut regarder dans la pierre finement sculpée, une vraie dentelle, une très riche symbolique. Cette architecture plutôt tourmentée et cet endroit très commerçant réussit à produire des gens très sereins, d'un très grand calme et très posés.
Attendant de nouvelles impressions, chers internautes et chers fidèles de mon blog, je vous dis à bientôt.
La matinée de ce vendredi a été marquée par une escapade à Rouen, capitale de la Normandie et deuxième ville du Royaume sous l' Ancien Régime.
J'ai pu effectuer un véritable circuit dans cette cité d'à présent 120 000 habitants. Celui-ci s'est composé d'une observation du Palais de Justice, qui était le siège de l' Echiquier de Normandie devenu en 1515 Parlement de Rouen, de l' Abbaye de Saint-Ouen, de l' église Saint-Maclou à l' architecture si particulière, de la Cathédrale Notre-Dame, du Gros-Horloge riche en symbolique et enfin de la Place du marché où Jeanne d'Arc a subit son martyre.
Tout dans cette ville respire l' architecture du gothique flamboyant, la cité ayant connu son apogée en 1450 et 1550. On peut d'ailleurs s'y repérer en regardant les tours gothiques qui surplombent la ville. On peut regarder dans la pierre finement sculpée, une vraie dentelle, une très riche symbolique. Cette architecture plutôt tourmentée et cet endroit très commerçant réussit à produire des gens très sereins, d'un très grand calme et très posés.
Attendant de nouvelles impressions, chers internautes et chers fidèles de mon blog, je vous dis à bientôt.
jeudi 10 avril 2014
sur la Grande Guerre des Français 1914-1918
Chers internautes et chers amis de mon blog,
En cet an de grâce 2014, j'aimerais vous parler d'un ouvrage lu il y a maintenant un mois. Il s'agit de la Grande Guerre des Français 1914-1918 de Jean-Baptiste Duroselle.
Ce livre décrit année après année le conflit dont on commémore actuellement le centième anniversaire sous ses aspects militaires, diplomatiques, économiques, sociaux et culturels.
C'est donc un travail très synthétique et très documenté où rien n'est oublié. L'aspect du conflit pour les combattants, mais aussi pour l' arrière est bien expliqué, de même que les angoisses diplomatiques et politiques. Le principal des opérations est relaté, sans tomber dans une gloriole ou à l'inverse dans un pacifisme tout aussi exagéré. Il en est de même pour le déclenchement du conflit et ses conséquences. Mais ce que j'ai surtout appris dans la lecture de cet ouvrage est le début de la gestion technocratique des affaires économiques (déjà mentionné par Theodore Zeldin dans son cinquième volume de l' Histoire des passions française 1848-1945) et l' apparition sur la scène de Jean Monnet. Le rôle de l' ex-maréchal Pétain dans la défensive et du Maréchal Foch dans l' offensive m'ont également marqué.
Pour tout dire, je conseille vivement la lecture de ce livre pour sortir des fantasmes. il aurait fallu voir également la série Apocalypse 1914 de Pascal Clarke et Daniel Costelle diffusée récemment sur France 2, malgré tous ces sous-entendus. Attendant de nouvelles impressions, je vous dis à bientôt.
Post-Scriptum qui a à voir et rien à voir: sur la civilation française, allez lire aussi si vous avez le temps, l' Histoire des passions françaises 1848-1945 déjà évoqué sur ce blog le 31 mars 2014. Tout y est. Par exemple, le troisième volume Goût et corruption mentionne aussi bien la couturière Coco Channel, les peintres impressionistes, le cuisinier Escoffier ou le fonctionnement de la presse. Encore une fois, à bientôt.
En cet an de grâce 2014, j'aimerais vous parler d'un ouvrage lu il y a maintenant un mois. Il s'agit de la Grande Guerre des Français 1914-1918 de Jean-Baptiste Duroselle.
Ce livre décrit année après année le conflit dont on commémore actuellement le centième anniversaire sous ses aspects militaires, diplomatiques, économiques, sociaux et culturels.
C'est donc un travail très synthétique et très documenté où rien n'est oublié. L'aspect du conflit pour les combattants, mais aussi pour l' arrière est bien expliqué, de même que les angoisses diplomatiques et politiques. Le principal des opérations est relaté, sans tomber dans une gloriole ou à l'inverse dans un pacifisme tout aussi exagéré. Il en est de même pour le déclenchement du conflit et ses conséquences. Mais ce que j'ai surtout appris dans la lecture de cet ouvrage est le début de la gestion technocratique des affaires économiques (déjà mentionné par Theodore Zeldin dans son cinquième volume de l' Histoire des passions française 1848-1945) et l' apparition sur la scène de Jean Monnet. Le rôle de l' ex-maréchal Pétain dans la défensive et du Maréchal Foch dans l' offensive m'ont également marqué.
Pour tout dire, je conseille vivement la lecture de ce livre pour sortir des fantasmes. il aurait fallu voir également la série Apocalypse 1914 de Pascal Clarke et Daniel Costelle diffusée récemment sur France 2, malgré tous ces sous-entendus. Attendant de nouvelles impressions, je vous dis à bientôt.
Post-Scriptum qui a à voir et rien à voir: sur la civilation française, allez lire aussi si vous avez le temps, l' Histoire des passions françaises 1848-1945 déjà évoqué sur ce blog le 31 mars 2014. Tout y est. Par exemple, le troisième volume Goût et corruption mentionne aussi bien la couturière Coco Channel, les peintres impressionistes, le cuisinier Escoffier ou le fonctionnement de la presse. Encore une fois, à bientôt.
mardi 8 avril 2014
le voyage et l'exploration à la médiathèque de Bernay
Chers internautes et chers amis de mon blog,
Cette soirée fut pour moi l'occasion d'écouter une conférence organisée par l'association Les amis de Bernay, animée cette fois par Fabienne Gleye, directrice de la médiathèque de Bernay, et intitulée "Les récits de voyage et d'exploration à la médiathèque".
La conférencière y a montré par rétroprojecteur plusieurs ouvrages conservés dans le fond ancien de la bibliothèque municipale. Ces livres concernent aussi bien les relations de voyage du XVIIe siècle, les livres de savants tel l'ouvrage du jésuite Du Halde sur la Chine qui a tant impressionné Voltaire, mais surtout les grands voyages d' exploration issus de l' époque des Lumières et du XIXe siècle. Les volumes concernés allaient de Champollion à Dumont d' Urville, d' orientalistes tels que Volney, évoqué dans Les lettres de mon moulins d' Alphonse Daudet, ou le Bernayen Lottin de Laval, des géographes tel Alexandre de Humboldt ou des navigateurs tel Bougainville. La conférence s'est terminée par l'exposition des livres évoqués que les spectateurs ont pus feuilleter avec beaucoup de curiosité.
Bien que n'ayant fait que deux séjours prolongés dans un hameau du Piémont et dans un village de Westphalie et trois sauts de puce à Rome, Venise et Florence, je sais pertinement que voyager ouvre l'esprit et forme la jeunesse. Ma Mère et mon Père furent par contre de grands voyageurs, sans parler de ma Soeur toujours en déplacement. Voyager, quand on le peut, permet de s' instruire, change les idées et requinque beaucoup.
Mais on peut voyager sans bouger de la ville où l'on est. Cette conférence et les ouvrages conservés à la médiathèque de Bernay le prouvent, de même que l' exposition actuelle "Voyage au siècle des Lumières" au musée de Bernay, et dont j'ai parlée en février 2014 sur ce blog arnaudchenu.blogspot.com
Cette soirée fut pour moi l'occasion d'écouter une conférence organisée par l'association Les amis de Bernay, animée cette fois par Fabienne Gleye, directrice de la médiathèque de Bernay, et intitulée "Les récits de voyage et d'exploration à la médiathèque".
La conférencière y a montré par rétroprojecteur plusieurs ouvrages conservés dans le fond ancien de la bibliothèque municipale. Ces livres concernent aussi bien les relations de voyage du XVIIe siècle, les livres de savants tel l'ouvrage du jésuite Du Halde sur la Chine qui a tant impressionné Voltaire, mais surtout les grands voyages d' exploration issus de l' époque des Lumières et du XIXe siècle. Les volumes concernés allaient de Champollion à Dumont d' Urville, d' orientalistes tels que Volney, évoqué dans Les lettres de mon moulins d' Alphonse Daudet, ou le Bernayen Lottin de Laval, des géographes tel Alexandre de Humboldt ou des navigateurs tel Bougainville. La conférence s'est terminée par l'exposition des livres évoqués que les spectateurs ont pus feuilleter avec beaucoup de curiosité.
Bien que n'ayant fait que deux séjours prolongés dans un hameau du Piémont et dans un village de Westphalie et trois sauts de puce à Rome, Venise et Florence, je sais pertinement que voyager ouvre l'esprit et forme la jeunesse. Ma Mère et mon Père furent par contre de grands voyageurs, sans parler de ma Soeur toujours en déplacement. Voyager, quand on le peut, permet de s' instruire, change les idées et requinque beaucoup.
Mais on peut voyager sans bouger de la ville où l'on est. Cette conférence et les ouvrages conservés à la médiathèque de Bernay le prouvent, de même que l' exposition actuelle "Voyage au siècle des Lumières" au musée de Bernay, et dont j'ai parlée en février 2014 sur ce blog arnaudchenu.blogspot.com
dimanche 6 avril 2014
César Franck à l' église Sainte-Croix de Bernay
Chers internautes et chers amis de mon blog,
Ce dimanche a été pour moi l'occasion d'écouter un concert organisé à l'église Sainte-Croix de Bernay et joué par le choeur Saint-Georges.
Une première partie était composée de pièces d'auteurs comme Couperin, Gabriel Fauré ou Philippe Hersant avec orgue, harpe, violoncelle et soliste. Mais c'est la seconde partie qui a donné son nom au concert qui a retenu mon attention.
C'était Les sept paroles du Christ en croix de César Franck, dont les paroles en latin sont directement tirées des Evangiles. Il s'agit d'une oeuvre très intense, à la musique variée, et tout était bien joué. Cela allait également bien avec ce temps de Carême, préparation à la Semaine Sainte et à Pâques.
J'ai passé en bref un bon et émouvant après-midi. Attendant de nouvelles impressions, chers internautes et chers fidèles, je vous dis à bientôt.
Ce dimanche a été pour moi l'occasion d'écouter un concert organisé à l'église Sainte-Croix de Bernay et joué par le choeur Saint-Georges.
Une première partie était composée de pièces d'auteurs comme Couperin, Gabriel Fauré ou Philippe Hersant avec orgue, harpe, violoncelle et soliste. Mais c'est la seconde partie qui a donné son nom au concert qui a retenu mon attention.
C'était Les sept paroles du Christ en croix de César Franck, dont les paroles en latin sont directement tirées des Evangiles. Il s'agit d'une oeuvre très intense, à la musique variée, et tout était bien joué. Cela allait également bien avec ce temps de Carême, préparation à la Semaine Sainte et à Pâques.
J'ai passé en bref un bon et émouvant après-midi. Attendant de nouvelles impressions, chers internautes et chers fidèles, je vous dis à bientôt.
vendredi 4 avril 2014
Rome vue par France Culture
Chers internautes et chers amis de mon blog,
J'ai écouté cet après-midi et ce soir une série d'émissions radiodiffusées de France Culture que j' ai enregistrée en juillet 1995. Il s'agit de Vivre à Rome sous l' Empire au premier siècle de notre ère.
Cinq émissions composent cette série: le 17 juillet 1995, la Ville, ses rues, ses maisons, ses habitants, le 18 juillet la politique, les affaires, le travail, une société de parrains, le 19 juillet la vie littéraire à Rome sous l' Empire, le 20 juillet l' évolution des mentalités, la sensibilité romaine, le 21 juillet 1995 Rome et son Empire. Plusieurs intervenants sont interrogés dans cette série, tel Paul Veyne et Jacques Gaillard, Catherine Salles ou Jean-Noel Robert.
Avec mes études d'histoire, bien entendu, cette série m'a fait découvrir plusieurs aspects de la sensibilité des anciens Romains. De nombreuses choses y sont, tels la vie dans le forum et dans les rues, les embarras de Rome, le rôle de la richesse, de la corruption et des clientèles (Nihil novi sub Sole, rien de nouveau sous le Soleil), le rapport centre-périférie, Rome-provinces-étranger, le rôle littéraire tenu par les affranchis, les rapports amoureux et les rapports homme-femme-enfants, le rôle des esclaves et de la domesticité, et enfin les ascensions sociales fulgurantes.
Je laisserais les derniers mots à Jean-Noël Robert, d'une part "Rome aide à mieux comprendre notre civilisation", d'autre part "Notre morale n'a pas été fondé par les chrétiens, elle est d'origine romaine". En bref, comme diraient les anciens, "Omnes viis Romam perveniuntur, Tous les chemins mènent à Rome".
J'ai écouté cet après-midi et ce soir une série d'émissions radiodiffusées de France Culture que j' ai enregistrée en juillet 1995. Il s'agit de Vivre à Rome sous l' Empire au premier siècle de notre ère.
Cinq émissions composent cette série: le 17 juillet 1995, la Ville, ses rues, ses maisons, ses habitants, le 18 juillet la politique, les affaires, le travail, une société de parrains, le 19 juillet la vie littéraire à Rome sous l' Empire, le 20 juillet l' évolution des mentalités, la sensibilité romaine, le 21 juillet 1995 Rome et son Empire. Plusieurs intervenants sont interrogés dans cette série, tel Paul Veyne et Jacques Gaillard, Catherine Salles ou Jean-Noel Robert.
Avec mes études d'histoire, bien entendu, cette série m'a fait découvrir plusieurs aspects de la sensibilité des anciens Romains. De nombreuses choses y sont, tels la vie dans le forum et dans les rues, les embarras de Rome, le rôle de la richesse, de la corruption et des clientèles (Nihil novi sub Sole, rien de nouveau sous le Soleil), le rapport centre-périférie, Rome-provinces-étranger, le rôle littéraire tenu par les affranchis, les rapports amoureux et les rapports homme-femme-enfants, le rôle des esclaves et de la domesticité, et enfin les ascensions sociales fulgurantes.
Je laisserais les derniers mots à Jean-Noël Robert, d'une part "Rome aide à mieux comprendre notre civilisation", d'autre part "Notre morale n'a pas été fondé par les chrétiens, elle est d'origine romaine". En bref, comme diraient les anciens, "Omnes viis Romam perveniuntur, Tous les chemins mènent à Rome".
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