Chers fidèles internautes,
Je voudrais aujourd'hui vous parler d'un ouvrage que j'ai lu ce mois-ci, L' Amérique avant les Etats-Unis, Une histoire de l'Amérique anglaise 1497-1776 de l'universitaire Bertrand Van Ruymbeke, et qui est paru cette année aux éditions Flammarion.
Ce long livre d'environ 550 pages, à la fois bien charpenté et d'un style agréable, relate les origines de ce qui va devenir les Etats-Unis. Tout ou presque tout y est dans cette oeuvre exhautive, qui raconte d'abord le processus original des colonisations, puis les arrivées diverses du peuplement originel des 13 colonies, pour décrire ensuite le kaléidoscope religieux, les institutions locales aux différentes échelles et la naissance de ce qui allait devenir la culture américaine. Enfin, la séparation avec Londres est bien expliquée, et l'auteur insiste avec brio sur le rôle de la guerre de sept ans et l'opposition des colons anglais à la France.
Cet ouvrage suscite l'intérêt à plus d'un titre. Pourquoi ? D'une part, il explique bien les origines de cette civilisation si particulière des Etats-Unis, et ceci, je le répète bien, dans tous ses aspects. Il permet donc de comprendre d'autre part les permanances et l'actualité de ce pays et de ses habitants, sans tomber ni dans une admiration béate, ni dans une condamnation univoque, selon les gazettes et les circonstances personnelles. Nous ne tombons donc pas, mes chers internautes, dans une völkerpsychologie qui est souvent un bazar conceptuel.
C'est à l'heure, mes chers internautes, d'une dramatique actualité dans ce pays que je terminai l'ouvrage et ai écrit ces lignes, où un mélange du souvenir douloureux de l'esclavage et le problème de l'usage commun des armes à feu ressurgissait. Il est temps de vous rappeler donc le titre et l'auteur, L'Amérique avant les Etats-Unis, Une histoire de l'Amérique anglaise 1497-1776, de Bertrand Van Ruymbeke, publiée récemment aux éditions Flammarion. A bientôt.
dimanche 30 novembre 2014
à Cannes, d'un repas japonais au Café Pico
Chers internautes et chers amis,
Cette journée de samedi a été marquée par un repas japonais dans un snack de Cannes, le Café Pico, ce qui fut pour moi l'occasion de découvrir de nouvelles saveurs et de déguster une nouvelle cuisine.
Ces plats, préparés finement et avec amour par une Japonaise, étaient composés d'une salade de betterave très épicée, d'une soupe miso, d'un plat d'aubergines et d'un ragoût de boeuf, et furent servis tous en même temps par le propriétaire de la maison qui m'expliqua les différents mets et comment en profiter.
Voyons d'abord l'aspect de ces plats. On a pu voir que tout était finement préparé, et rien qu'à la vue, ceci donne beaucoup envie et que cela allait être l'occasion d'une découverte culinaire. A présent, la dégustation. J'ai mangé lentement ces petits plats, et j'ai pu en distinguer un certain goût indéfinissable, un certain "je ne sais quoi". Pour finir, il y a une certaine philosophie dans cette gastronomie, que l'on peut définir par une cuisine saine, très fine je le répète, et surtout très copieuse, et ceci sans que l'on s'en aperçoive.
Ce n'est pas pour rien que les Japonais vivent longtemps, et semblent sereins. Attendant d'autres impressions, je vous dis mes chers internautes, à bientôt.
Cette journée de samedi a été marquée par un repas japonais dans un snack de Cannes, le Café Pico, ce qui fut pour moi l'occasion de découvrir de nouvelles saveurs et de déguster une nouvelle cuisine.
Ces plats, préparés finement et avec amour par une Japonaise, étaient composés d'une salade de betterave très épicée, d'une soupe miso, d'un plat d'aubergines et d'un ragoût de boeuf, et furent servis tous en même temps par le propriétaire de la maison qui m'expliqua les différents mets et comment en profiter.
Voyons d'abord l'aspect de ces plats. On a pu voir que tout était finement préparé, et rien qu'à la vue, ceci donne beaucoup envie et que cela allait être l'occasion d'une découverte culinaire. A présent, la dégustation. J'ai mangé lentement ces petits plats, et j'ai pu en distinguer un certain goût indéfinissable, un certain "je ne sais quoi". Pour finir, il y a une certaine philosophie dans cette gastronomie, que l'on peut définir par une cuisine saine, très fine je le répète, et surtout très copieuse, et ceci sans que l'on s'en aperçoive.
Ce n'est pas pour rien que les Japonais vivent longtemps, et semblent sereins. Attendant d'autres impressions, je vous dis mes chers internautes, à bientôt.
jeudi 27 novembre 2014
à Cannes, une aide-comptable raconte son métier
Chers fidèles internautes,
Après un restaureur-limonadier, une famille d'opticiens-lunetiers et un cuisiniste, voici à présent une aide-comptable de Cannes qui expose son métier:
Comment êtes-vous entrée dans le métier d'aide-comptable?
-En fait, c'est simple. Ma tante était comptable et m'a appris le métier, j'était réceptionniste dans un hôtel et ma tante, qui y faisait la comptabilité, m'a appris le métier et j'ai pu évoluer ensuite.
Quelles sont les caractéristiques du métier?
-Je dirais qu'il faut être très minutieux, très précis. De plus, j'ai une entreprise avec mon mari où je fais la comptabilité, et c'est un expert-comptable qui fait le bilan.
Quelque chose de personnel à dire?
-C'est un métier que j'aime bien et que l'on ne peut pas faire si on aime pas les chiffres, qui est complexe et qui permet de connaître le monde de l'entreprise.
Après un restaureur-limonadier, une famille d'opticiens-lunetiers et un cuisiniste, voici à présent une aide-comptable de Cannes qui expose son métier:
Comment êtes-vous entrée dans le métier d'aide-comptable?
-En fait, c'est simple. Ma tante était comptable et m'a appris le métier, j'était réceptionniste dans un hôtel et ma tante, qui y faisait la comptabilité, m'a appris le métier et j'ai pu évoluer ensuite.
Quelles sont les caractéristiques du métier?
-Je dirais qu'il faut être très minutieux, très précis. De plus, j'ai une entreprise avec mon mari où je fais la comptabilité, et c'est un expert-comptable qui fait le bilan.
Quelque chose de personnel à dire?
-C'est un métier que j'aime bien et que l'on ne peut pas faire si on aime pas les chiffres, qui est complexe et qui permet de connaître le monde de l'entreprise.
lundi 24 novembre 2014
sur une institution de la langue, le Bescherelle
Chers amis internautes,
Après avoir évoqué dans ce blog le latin, l'italien, l'espagnol et la rhétorique, il est temps de vous parler d'une véritable institution de la langue française, le Bescherelle publié par les éditions Hatier. Pour cela, je vais évoquer à présent l'ouvrage Bescherelle L'essentiel d'Adeline Lesot, agrégé de lettres.
Comment se compose cet ouvrage? C'est très simple, de cinq parties qui constituent l'essentiel de l'étude d'une langue, c'est à dire le vocabulaire, l'expression, l'orthographe, la grammaire et la conjugaison. Les principales notions y sont expliquées de façon claire, avec de nombreux exemple évocateurs tirés de la langue, et l'ouvrage réussit à être à la fois léger et bien charpenté.
Comment le lire et en tirer la substantifique moelle? D'abord, une lecture rapide mais attentive de chacune des parties, ce qui permet de se remémorrer la langue, voir ses lacunes, mais aussi de connaître ce livre. Ce dernier point permet, dans une seconde phase, de butiner dans l'ouvrage de temps à autre pour bien maîtriser le langage.
Ceci, avec une vague étude du latin de l'italien, de l'espagnol et de la rhétorique notament évoqué dans les bulletins de juin et de septembre 2014, permet une petite amélioration de l'expression écrite et verbale. Il est temps maintenant de vous rappeler, mes chers amis, le titre et l'auteur de l'ouvrage, Bescherelle L'essentiel d'Adeline Lesot paru aux éditions Hatier. A bientôt.
Après avoir évoqué dans ce blog le latin, l'italien, l'espagnol et la rhétorique, il est temps de vous parler d'une véritable institution de la langue française, le Bescherelle publié par les éditions Hatier. Pour cela, je vais évoquer à présent l'ouvrage Bescherelle L'essentiel d'Adeline Lesot, agrégé de lettres.
Comment se compose cet ouvrage? C'est très simple, de cinq parties qui constituent l'essentiel de l'étude d'une langue, c'est à dire le vocabulaire, l'expression, l'orthographe, la grammaire et la conjugaison. Les principales notions y sont expliquées de façon claire, avec de nombreux exemple évocateurs tirés de la langue, et l'ouvrage réussit à être à la fois léger et bien charpenté.
Comment le lire et en tirer la substantifique moelle? D'abord, une lecture rapide mais attentive de chacune des parties, ce qui permet de se remémorrer la langue, voir ses lacunes, mais aussi de connaître ce livre. Ce dernier point permet, dans une seconde phase, de butiner dans l'ouvrage de temps à autre pour bien maîtriser le langage.
Ceci, avec une vague étude du latin de l'italien, de l'espagnol et de la rhétorique notament évoqué dans les bulletins de juin et de septembre 2014, permet une petite amélioration de l'expression écrite et verbale. Il est temps maintenant de vous rappeler, mes chers amis, le titre et l'auteur de l'ouvrage, Bescherelle L'essentiel d'Adeline Lesot paru aux éditions Hatier. A bientôt.
dimanche 23 novembre 2014
d' un couscous de la mer du restaurant Astoux-Brun de Cannes
Chers amis internautes,
Ce dimanche après-midi a été pour moi l'occasion de multiples plaisirs, dont le restaurant Astoux-Brun de Cannes a été l'origine.
En effet, nous sommes allés, moi et mon père, dans cette institution cannoise pour acheter un plat que nous n'avions jamais dégusté, le couscous de la mer. Ce plat fut préparé comme un couscous, mais à la place des viandes, fut accompagné de loup, de lotte et de gambas. Nous l'avouons, nous n'avions pas préparé le repas comme cela doit se faire, mais je sais à présent que nous avions régalé nos convives.
Ceux-ci, de vieux amis, ont adoré le repas qui a débuté par un apéritif au champagne et des amuses-bouches, où chacun demandait des nouvelles des proches. Puis vint le moment du repas, qui commença par de délicieuses moules farçies, puis par le couscous de la mer qui fur accompagné d'un bon muscadet. Le repas, comme vous l'imaginez mes chers internautes, fut bon et copieux, la conversation porta sur tout et rien et j'ai découvert de nouvelles saveurs. Un peu trop rassasié par ce bon repas, je décidai, ce qui ne ce fait pas, de m'allonger un peu.
Mais après cette courte absence, je fut peu réintégré dans la conversation, et j'en fut un peu grognon. Puis , ô miracle, les femmes s'éloignèrent et nous avons pu parler, moi, mon père et notre convive , ancien militaire de la gendarmerie, de sujet intéressants. Politique locale, nationale et internationale, tout y passé et chacun d'entre-nous a pu donner son opinion.
Je viens de vous montrer, mes chers internautes, le repas à la française, plein de saveurs et de sentiments contraires et contradictoires, qui a été classé au patrimoine mondial de l' UNESCO. Attendant d'autres impressions, je vous dis, mes chers fidèles, à bientôt.
Ce dimanche après-midi a été pour moi l'occasion de multiples plaisirs, dont le restaurant Astoux-Brun de Cannes a été l'origine.
En effet, nous sommes allés, moi et mon père, dans cette institution cannoise pour acheter un plat que nous n'avions jamais dégusté, le couscous de la mer. Ce plat fut préparé comme un couscous, mais à la place des viandes, fut accompagné de loup, de lotte et de gambas. Nous l'avouons, nous n'avions pas préparé le repas comme cela doit se faire, mais je sais à présent que nous avions régalé nos convives.
Ceux-ci, de vieux amis, ont adoré le repas qui a débuté par un apéritif au champagne et des amuses-bouches, où chacun demandait des nouvelles des proches. Puis vint le moment du repas, qui commença par de délicieuses moules farçies, puis par le couscous de la mer qui fur accompagné d'un bon muscadet. Le repas, comme vous l'imaginez mes chers internautes, fut bon et copieux, la conversation porta sur tout et rien et j'ai découvert de nouvelles saveurs. Un peu trop rassasié par ce bon repas, je décidai, ce qui ne ce fait pas, de m'allonger un peu.
Mais après cette courte absence, je fut peu réintégré dans la conversation, et j'en fut un peu grognon. Puis , ô miracle, les femmes s'éloignèrent et nous avons pu parler, moi, mon père et notre convive , ancien militaire de la gendarmerie, de sujet intéressants. Politique locale, nationale et internationale, tout y passé et chacun d'entre-nous a pu donner son opinion.
Je viens de vous montrer, mes chers internautes, le repas à la française, plein de saveurs et de sentiments contraires et contradictoires, qui a été classé au patrimoine mondial de l' UNESCO. Attendant d'autres impressions, je vous dis, mes chers fidèles, à bientôt.
samedi 22 novembre 2014
à Cannes, sur le site coureur2.blogspot.com et les nus de l'ABAC
Chers amis internautes,
Ce vendredi, un ami m'a présenté un site internet qui est consacré à l'art, sa grande passion. Il s'agit du site internet coureur2.blogpot.com.
D'un premier abord, le site présente deux articles, d'ailleurs passionnant, le premier sur les châteaux de la Creuse et le second sur l'alliance de l'art contemporain et le baroque à la Chapelle de la Miséricorde à Vallauris. Mais en allant plus loin, j'ai pu enfin voir les séances de nu de l'ABAC à Cannes, auquelles participe mon ami. Tout y est, du pastel au fusain en passant par l'aquarelle, des traits élégants aux traits plus grossiers (au sens positif du terme), en passant par des traits plus charpentés.
Ceci montre donc bien la sensibilité de l'art, qui démontre elle-même la sensibilité de chaque artiste. Les mêmes modèles dans la même pose sont dessinés de façon différente, selon l'interprétation et le talent qui démontre bien la personnalité de chacun. C'est dans ce sens de la personnalité et de l'individualité si forte que j'ai comparé avec mon ami la pratique de l'art avec le jeu d'échecs, comparaison osée je l'avoue, mais où on voit bien la personnalité des joueurs.
Tout ceci m'invite à revoir le site et à m'imprégner de tout cela, voire d'aller plus loin, car l'art n'est pas seulement affaire de technique, mais également de sensibilité. A bientôt.
Ce vendredi, un ami m'a présenté un site internet qui est consacré à l'art, sa grande passion. Il s'agit du site internet coureur2.blogpot.com.
D'un premier abord, le site présente deux articles, d'ailleurs passionnant, le premier sur les châteaux de la Creuse et le second sur l'alliance de l'art contemporain et le baroque à la Chapelle de la Miséricorde à Vallauris. Mais en allant plus loin, j'ai pu enfin voir les séances de nu de l'ABAC à Cannes, auquelles participe mon ami. Tout y est, du pastel au fusain en passant par l'aquarelle, des traits élégants aux traits plus grossiers (au sens positif du terme), en passant par des traits plus charpentés.
Ceci montre donc bien la sensibilité de l'art, qui démontre elle-même la sensibilité de chaque artiste. Les mêmes modèles dans la même pose sont dessinés de façon différente, selon l'interprétation et le talent qui démontre bien la personnalité de chacun. C'est dans ce sens de la personnalité et de l'individualité si forte que j'ai comparé avec mon ami la pratique de l'art avec le jeu d'échecs, comparaison osée je l'avoue, mais où on voit bien la personnalité des joueurs.
Tout ceci m'invite à revoir le site et à m'imprégner de tout cela, voire d'aller plus loin, car l'art n'est pas seulement affaire de technique, mais également de sensibilité. A bientôt.
à Cannes, sur les conséquences d'une grosse dispute
Chers fidèles internautes,
En début de semaine, au fur et à mesure qu'une tension grandissait, une grosse dispute entre moi et une personne qui m'est chère a éclaté, dans laquelle chacun était allé plus loin que sa pensée. Comme me le conseillait ma soeur, je décidai de m'éloigner pour un certain temps, et je pris mes valises.
Ayant trouvé un pied-à-terre dans un hôtel du quartier de la gare à Cannes, j'ai pu retrouver une certaine sérénité, et j'ai décidé de lacher prise question finances. J'espère que vous voyez, mes chers internautes, de quoi il s'agit: quelques petits repas dans des restaurants autour de la rue Hoche à Cannes et près du Marché Forville, accompagné d'un verre de vin rouge sans prétention, terminé généralement d'un dessert et d'un café. Cuisine du pays, française, italienne étaient à l'honneur, bien évidemment.
Des lectures détendues à l'hôtel furent également de mise, de même que quelques sorties sur le tard dans la nuit autour du quartier de la gare, de la Rue Hoche et du "Carré d'or" près de la Croisette, trois endroits si proches l'un de l'autre et pourtant si différents.
J'ai évidemment préparé ce jeudi mon retour par un apéritif à la maison, où nous avons eu une conversation sur Cannes, les restaurants et la gastronomie en général. Je fus de retour à la maison ce vendredi matin vers les 11 heures.
Un regret toutefois, et une prise de conscience: le tabac est quelque chose, je m'en suis aperçu depuis longtemps, de très onéreux et de très coûteux. Attendant de nouvelles impressions, je vous dis, mes chers internautes, à bientôt.
En début de semaine, au fur et à mesure qu'une tension grandissait, une grosse dispute entre moi et une personne qui m'est chère a éclaté, dans laquelle chacun était allé plus loin que sa pensée. Comme me le conseillait ma soeur, je décidai de m'éloigner pour un certain temps, et je pris mes valises.
Ayant trouvé un pied-à-terre dans un hôtel du quartier de la gare à Cannes, j'ai pu retrouver une certaine sérénité, et j'ai décidé de lacher prise question finances. J'espère que vous voyez, mes chers internautes, de quoi il s'agit: quelques petits repas dans des restaurants autour de la rue Hoche à Cannes et près du Marché Forville, accompagné d'un verre de vin rouge sans prétention, terminé généralement d'un dessert et d'un café. Cuisine du pays, française, italienne étaient à l'honneur, bien évidemment.
Des lectures détendues à l'hôtel furent également de mise, de même que quelques sorties sur le tard dans la nuit autour du quartier de la gare, de la Rue Hoche et du "Carré d'or" près de la Croisette, trois endroits si proches l'un de l'autre et pourtant si différents.
J'ai évidemment préparé ce jeudi mon retour par un apéritif à la maison, où nous avons eu une conversation sur Cannes, les restaurants et la gastronomie en général. Je fus de retour à la maison ce vendredi matin vers les 11 heures.
Un regret toutefois, et une prise de conscience: le tabac est quelque chose, je m'en suis aperçu depuis longtemps, de très onéreux et de très coûteux. Attendant de nouvelles impressions, je vous dis, mes chers internautes, à bientôt.
vendredi 21 novembre 2014
échanges constructifs sur le style de mon blog
Très chers amis internautes,
Cet après-midi fut pour moi l'occasion d'une retrouvaille avec une de mes très vieilles connaissances, qui a eu l'occasion de consulter mon blog.
Celui-ci fut enchanté par les différents bulletins, mais a fait une remarque sur mon site internet. En effet, pour lui, le blog arnaudchenu.blogspot.com est plein de qualités, mais manquerait de remarques personnelles. Nous avons donc dialogué et de cet échange est sorti plusieurs choses.
Ce n'est pas que mon blog manquerait de pittoresque, mais pour mon interlocuteur, il manquerait de piment. Comment faire? lui répliquai-je. Lire des romans et des fictions, m'a-t-il répondu. Ceci fut déjà observé par d'autres personnes et il faut donc que je m'attelle à la tâche.
Pourquoi donc ne pas lire Voltaire, dont le style est très pétillant, mais aussi d'autres auteurs, tels Molière, La Fontaine et la Marquise de Sévigné, qui bien que scolaires, sont des écoles de style et de sensibilité. Attendant d'autres impressions, je vous dis, mes très chers fidèles, à bientôt.
Cet après-midi fut pour moi l'occasion d'une retrouvaille avec une de mes très vieilles connaissances, qui a eu l'occasion de consulter mon blog.
Celui-ci fut enchanté par les différents bulletins, mais a fait une remarque sur mon site internet. En effet, pour lui, le blog arnaudchenu.blogspot.com est plein de qualités, mais manquerait de remarques personnelles. Nous avons donc dialogué et de cet échange est sorti plusieurs choses.
Ce n'est pas que mon blog manquerait de pittoresque, mais pour mon interlocuteur, il manquerait de piment. Comment faire? lui répliquai-je. Lire des romans et des fictions, m'a-t-il répondu. Ceci fut déjà observé par d'autres personnes et il faut donc que je m'attelle à la tâche.
Pourquoi donc ne pas lire Voltaire, dont le style est très pétillant, mais aussi d'autres auteurs, tels Molière, La Fontaine et la Marquise de Sévigné, qui bien que scolaires, sont des écoles de style et de sensibilité. Attendant d'autres impressions, je vous dis, mes très chers fidèles, à bientôt.
à Cannes, une entrevue sur le métier de cuisiniste
Mes chers amis internautes,
Dans ma découverte de différents métiers, je vous présente une profession méconnue, mais passionnante, celle d'un cuisiniste de Cannes, qui installe et construit la cuisine de la maison, source de saveur et de convivialité.
Comment est venue la vocation?
-Je suis sorti de l'école des arts déco de Nice, puis parti en Angleterre pour faire du design, et j'ai trouvé un emploi de dessinateur dans une usine de cuisine. Ensuite, je suis passé à l'implantation, puis l'usine m'a fait passer à Nice où j'ai gardé ce métier, et je me suis mis à mon compte depuis 1982.
Et aujourd'hui?
-C'est un métier pointu qui requiert technicité, créativité et sens artistique. Depuis 1970, je pratique la cuisine, c'est mon métier et ma passion et j'ai installé plusieurs milliers de cuisines dans ma carrière.
Un côté passion?
-Pour créer un espace dans un appartement avec le client, j'écoute la personne et nous créons. Une grande satisfaction est de voir les gens heureux quand la cuisine est terminée, avec un changement dans leur vie avec une nouvelle convivialité et de nouvelles saveurs.
Dans ma découverte de différents métiers, je vous présente une profession méconnue, mais passionnante, celle d'un cuisiniste de Cannes, qui installe et construit la cuisine de la maison, source de saveur et de convivialité.
Comment est venue la vocation?
-Je suis sorti de l'école des arts déco de Nice, puis parti en Angleterre pour faire du design, et j'ai trouvé un emploi de dessinateur dans une usine de cuisine. Ensuite, je suis passé à l'implantation, puis l'usine m'a fait passer à Nice où j'ai gardé ce métier, et je me suis mis à mon compte depuis 1982.
Et aujourd'hui?
-C'est un métier pointu qui requiert technicité, créativité et sens artistique. Depuis 1970, je pratique la cuisine, c'est mon métier et ma passion et j'ai installé plusieurs milliers de cuisines dans ma carrière.
Un côté passion?
-Pour créer un espace dans un appartement avec le client, j'écoute la personne et nous créons. Une grande satisfaction est de voir les gens heureux quand la cuisine est terminée, avec un changement dans leur vie avec une nouvelle convivialité et de nouvelles saveurs.
mercredi 19 novembre 2014
sur l' Histoire de la Résistance en France de Jean-François Muracciole
Chers amis internautes,
J'aimerais aujourd'hui vous parler d'un Que-sais-je? édité par les Presses Universitaires de France, l' Histoire de la Résistance en France de Jean-François Muracciole.
Ce court livret est une synthèse de l'histoire de la Résistance, et relate ce phénomène de la constitution des réseaux à la Libération et à l'après-guerre, en passant par l'unification, les luttes et les structures.
Tout y est décrit d'une façon à la fois brève, claire et précise, et aucun sujet n'est oublié et occulté. Une critique néanmoins, les maquis sont peu développés et les divergence des chefs y occupe beaucoup trop d'importance. Malgré ce défaut, il s' agit d'une excellente introduction sur ce thème, indispensable pour ceux qui veulent l'appréhender et le connaître.
Je conseille donc vraiment la lecture de cet ouvrage dont je rappelle le titre et l'auteur, Histoire de la Résistance en France de Jean-François Muracciole édité par les Presses Universitaires de France dans la collection Que-sais-je? Il est désormais temps de vous dire, mes chers internautes, à bientôt.
J'aimerais aujourd'hui vous parler d'un Que-sais-je? édité par les Presses Universitaires de France, l' Histoire de la Résistance en France de Jean-François Muracciole.
Ce court livret est une synthèse de l'histoire de la Résistance, et relate ce phénomène de la constitution des réseaux à la Libération et à l'après-guerre, en passant par l'unification, les luttes et les structures.
Tout y est décrit d'une façon à la fois brève, claire et précise, et aucun sujet n'est oublié et occulté. Une critique néanmoins, les maquis sont peu développés et les divergence des chefs y occupe beaucoup trop d'importance. Malgré ce défaut, il s' agit d'une excellente introduction sur ce thème, indispensable pour ceux qui veulent l'appréhender et le connaître.
Je conseille donc vraiment la lecture de cet ouvrage dont je rappelle le titre et l'auteur, Histoire de la Résistance en France de Jean-François Muracciole édité par les Presses Universitaires de France dans la collection Que-sais-je? Il est désormais temps de vous dire, mes chers internautes, à bientôt.
jeudi 13 novembre 2014
Chez mon médecin traitant, le docteur Veillier, à Cannes
Chers amis internautes,
Cet après-midi fut l'occasion de me rendre chez mon médecin traitant à Cannes, le docteur Veillier.
Je m'y suis rendu pour avoir confirmation du diagnostic du docteur Cosson de Bernay. Pour cela, j'ai d'abord montré mes examens sanguins et mes échographies des viscères pris, comme vous le savez chers habitués de mon blog arnaudchenu.blogspot.com, en Normandie, et le médecin a confirmé mes problèmes d'alcool. Prise de poids, auscultation et prise de tension ont terminés l'examen achevé par une courte conversation.
Je m'y suis montré fort loquace, et le docteur Veillier s'est montré surtout à l'écoute mais, tout en se montrant plus affable, avait moins de répondant que le docteur Cosson de Bernay. Cet entretien s'est terminé par une nouvelle prise de sang à faire avec une ordonnance bizone. La Carte Vitale ayant été prise en guise d'émolument, je suis parti, enchanté par le docteur Veillier mais très en colère contre une personne qui m'est chère.
Avant de vous quitter, mes chers internautes, j'aimerais conclure par deux observations. D'une part, on sait depuis Molière l'importance de la médecine chez nous les Français. D'autre part, peut être comme dirait le docteur Knock, "Tout bien-portant est un malade qui s'ignore". Sur ces deux observations, je vous dis à bientôt.
Cet après-midi fut l'occasion de me rendre chez mon médecin traitant à Cannes, le docteur Veillier.
Je m'y suis rendu pour avoir confirmation du diagnostic du docteur Cosson de Bernay. Pour cela, j'ai d'abord montré mes examens sanguins et mes échographies des viscères pris, comme vous le savez chers habitués de mon blog arnaudchenu.blogspot.com, en Normandie, et le médecin a confirmé mes problèmes d'alcool. Prise de poids, auscultation et prise de tension ont terminés l'examen achevé par une courte conversation.
Je m'y suis montré fort loquace, et le docteur Veillier s'est montré surtout à l'écoute mais, tout en se montrant plus affable, avait moins de répondant que le docteur Cosson de Bernay. Cet entretien s'est terminé par une nouvelle prise de sang à faire avec une ordonnance bizone. La Carte Vitale ayant été prise en guise d'émolument, je suis parti, enchanté par le docteur Veillier mais très en colère contre une personne qui m'est chère.
Avant de vous quitter, mes chers internautes, j'aimerais conclure par deux observations. D'une part, on sait depuis Molière l'importance de la médecine chez nous les Français. D'autre part, peut être comme dirait le docteur Knock, "Tout bien-portant est un malade qui s'ignore". Sur ces deux observations, je vous dis à bientôt.
lundi 10 novembre 2014
sur une émission de télévision sur Johnny Halliday, Eddy Mitchell et Jacques Dutronc
Chers amis internautes,
J'ai vaguement regardé pendant peu de temps une émission de télévision qui relate les vies parallèles entre Johnny Halliday, Eddy Mitchell et Jacques Dutronc, stars françaises de la pop.
Le rôle de l'enfance, les débuts fracassants au début des années 1960, l'emballement des média, le phénomène de société et l'articulation de leur vie privée, tout y était. Des morceaux de musique ont illustré ce documentaire, ce qui en a fait une émission vivante.
Néanmoins, ces chansons, toujours diffusées dans la plupart des radios, commencent à agacer un peu. Attendant de nouvelles impressions, je vous dis, mes chers internautes, à bientôt.
J'ai vaguement regardé pendant peu de temps une émission de télévision qui relate les vies parallèles entre Johnny Halliday, Eddy Mitchell et Jacques Dutronc, stars françaises de la pop.
Le rôle de l'enfance, les débuts fracassants au début des années 1960, l'emballement des média, le phénomène de société et l'articulation de leur vie privée, tout y était. Des morceaux de musique ont illustré ce documentaire, ce qui en a fait une émission vivante.
Néanmoins, ces chansons, toujours diffusées dans la plupart des radios, commencent à agacer un peu. Attendant de nouvelles impressions, je vous dis, mes chers internautes, à bientôt.
dimanche 9 novembre 2014
La flûte enchantée de Mozart au Palais des festivals de Cannes
Chers amis internautes,
Malgré une vive dispute, cet après-midi du 9 novembre fut marqué pour moi par l'opéra de Mozart La flute enchantée, présentée au Palais des Festivals de Cannes.
Comme vous le savez tous, mes chers internautes, cet opéra composé en 1791 relate l'initiation maçonnique et les grands principes de la franc-maçonnerie.
Mais ce qui marque beaucoup et le plus, en distinction des autres musiques évoquées dans ce blog, est l'aspect à la fois léger de la musique et puissant du propos, dans le tout très harmonieux de Mozart. Ce n'est pas pour rien, et je m'en suis aperçu à ce moment, que ce très grand musicien a inspiré la thérapie d'Alfred Tomatis.
Ayant dîné d'un simple repas près des allées de Cannes, puis entrevu le match PSG-OM, où Marseille semblait dominer malgré un but de Lucas, je suis rentré chez moi où j'ai tapé ce bulletin. Il est temps de vous dire, mes chers internautes, à bientôt.
Malgré une vive dispute, cet après-midi du 9 novembre fut marqué pour moi par l'opéra de Mozart La flute enchantée, présentée au Palais des Festivals de Cannes.
Comme vous le savez tous, mes chers internautes, cet opéra composé en 1791 relate l'initiation maçonnique et les grands principes de la franc-maçonnerie.
Mais ce qui marque beaucoup et le plus, en distinction des autres musiques évoquées dans ce blog, est l'aspect à la fois léger de la musique et puissant du propos, dans le tout très harmonieux de Mozart. Ce n'est pas pour rien, et je m'en suis aperçu à ce moment, que ce très grand musicien a inspiré la thérapie d'Alfred Tomatis.
Ayant dîné d'un simple repas près des allées de Cannes, puis entrevu le match PSG-OM, où Marseille semblait dominer malgré un but de Lucas, je suis rentré chez moi où j'ai tapé ce bulletin. Il est temps de vous dire, mes chers internautes, à bientôt.
vendredi 7 novembre 2014
à Cannes, retour au musée de la Castre, visite des collections ethnographiques
Chers amis internautes,
Ce vendredi après-midi fut marqué par un retour au musée de la Castre, mainte fois évoqué dans ce blog arnaudchenu.blogspot.com. Avant d'aller plus loin, rappelons qu'il s'agit à la fois d'un musée ethnographique et d'un musée de peintures.
Les collections éthnographiques sont basées sur les collections du baron Lycklama, accompagnées d'autres donations. Les expositions permanantes commencent par l'Himalaya, avec le chamanisme népalais, les masques et le bouddhisme tibétain. Ceci est continué par l'Arctique et les Inuïts autour des collections de Gontran de Poncins. Vient ensuite l'Amérique précolombienne, période appréciée par mon père, et que j'ai regardée attentivement. Mais c'est surtout une importante collection océanienne, autour des collections d'Edmond Ginoux de la Coche, qui constitue la plus grande partie des collections exposées, avec certaines pièces spectaculaires. L'Indonésie, avec d'impressionnant masques de Rangda et Barong, l'Asie et des instruments de musique venus du monde entier, viennent clore les expositions permanantes.
Pourquoi parler une nouvelle fois de ce musée? La raison en est très simple. Je rappelle que ma soeur est médiatrice culturelle au Musée du Quai Branly à Paris, voyage beaucoup et m'a sensibilisé à tout cela. Une autre raison ensuite, il s'agit d'un très vieux musée de Cannes et j'y suis venu dans ma prime enfance. Une dernière raison, peu avouable celle-là, ce musée est à petit prix et est donc à portée de toutes les bourses pour de grandes découvertes.
Avant de vous quitter, mes chers internautes, je vous rappelle que l'exposition sur l'art Qajar, évoquée dans ce blog le 7 février 2014, se poursuit. Il est temps désormais de vous dire, mes chers amis, à bientôt.
Ce vendredi après-midi fut marqué par un retour au musée de la Castre, mainte fois évoqué dans ce blog arnaudchenu.blogspot.com. Avant d'aller plus loin, rappelons qu'il s'agit à la fois d'un musée ethnographique et d'un musée de peintures.
Les collections éthnographiques sont basées sur les collections du baron Lycklama, accompagnées d'autres donations. Les expositions permanantes commencent par l'Himalaya, avec le chamanisme népalais, les masques et le bouddhisme tibétain. Ceci est continué par l'Arctique et les Inuïts autour des collections de Gontran de Poncins. Vient ensuite l'Amérique précolombienne, période appréciée par mon père, et que j'ai regardée attentivement. Mais c'est surtout une importante collection océanienne, autour des collections d'Edmond Ginoux de la Coche, qui constitue la plus grande partie des collections exposées, avec certaines pièces spectaculaires. L'Indonésie, avec d'impressionnant masques de Rangda et Barong, l'Asie et des instruments de musique venus du monde entier, viennent clore les expositions permanantes.
Pourquoi parler une nouvelle fois de ce musée? La raison en est très simple. Je rappelle que ma soeur est médiatrice culturelle au Musée du Quai Branly à Paris, voyage beaucoup et m'a sensibilisé à tout cela. Une autre raison ensuite, il s'agit d'un très vieux musée de Cannes et j'y suis venu dans ma prime enfance. Une dernière raison, peu avouable celle-là, ce musée est à petit prix et est donc à portée de toutes les bourses pour de grandes découvertes.
Avant de vous quitter, mes chers internautes, je vous rappelle que l'exposition sur l'art Qajar, évoquée dans ce blog le 7 février 2014, se poursuit. Il est temps désormais de vous dire, mes chers amis, à bientôt.
jeudi 6 novembre 2014
des opticiens de Cannes racontent leur métier
Chers amis internautes,
Je me suis rendu ce jeudi après-midi dans une entreprise familiale depuis 1947 d'opticiens-lunetiers de Cannnes où j'ai posé mes questions:
Comment s'est faite la transmission familiale du métier?
J - Pour notre génération, pas vraiment de transmission, mais c'est mon cousin qui m'a montré et moi qui ai aimé.
C - Pour mon frère, il y a eu transmission, mais pas pour moi, je suis venu en renfort de mon frère.
Quelles sont les différentes facettes du métier?
J - Ce qui est génial, c'est qu'il y a tout, relation clientèle, atelier, réparation, examen de vue, secrétariat...
C -une part intéressante est de découvrir les besoins du client et d'améliorer la vue.
Quelque chose de personnel à dire?
J - Soulager les cas difficiles, comme les cas de basse vision, pour la lecture ou la DMLA par exemple.
C - Ce qui me plait énormément est la relation avec mon client et de trouver le bon équipement qui lui convient surtout dans les cas difficiles.
Je me suis rendu ce jeudi après-midi dans une entreprise familiale depuis 1947 d'opticiens-lunetiers de Cannnes où j'ai posé mes questions:
Comment s'est faite la transmission familiale du métier?
J - Pour notre génération, pas vraiment de transmission, mais c'est mon cousin qui m'a montré et moi qui ai aimé.
C - Pour mon frère, il y a eu transmission, mais pas pour moi, je suis venu en renfort de mon frère.
Quelles sont les différentes facettes du métier?
J - Ce qui est génial, c'est qu'il y a tout, relation clientèle, atelier, réparation, examen de vue, secrétariat...
C -une part intéressante est de découvrir les besoins du client et d'améliorer la vue.
Quelque chose de personnel à dire?
J - Soulager les cas difficiles, comme les cas de basse vision, pour la lecture ou la DMLA par exemple.
C - Ce qui me plait énormément est la relation avec mon client et de trouver le bon équipement qui lui convient surtout dans les cas difficiles.
mercredi 5 novembre 2014
Une soupe aux potirons et aux moules faite par ma mère
Mes chers amis internautes,
Cette journée de mercredi fut marquée, dans l'après-midi, par une présentation par ma mère d'une recette, la soupe aux potirons et aux moules.
Celle-ci fut d'abord expliquée oralement, puis elle me fut ensuite montrée pas à pas, dans chacune de ses étapes. Tout ceci n'est pas compliqué et rien que de l'évoquer donne l'eau à la bouche.
Elle fut dégustée après une conversation, vigoureuse mais courtoise, sur le narcissisme, c'était délicieux tout en tenant bien le ventre. Cette journée s'acheva pour moi par une brève sortie dans un café où je pris un Irish Coffee et regarda un match de football.
Ce qui précède confirme la transmission familiale des goûts et des saveurs. Attendant de nouvelles impressions, je vous dis, mes chers amis, à bientôt.
Cette journée de mercredi fut marquée, dans l'après-midi, par une présentation par ma mère d'une recette, la soupe aux potirons et aux moules.
Celle-ci fut d'abord expliquée oralement, puis elle me fut ensuite montrée pas à pas, dans chacune de ses étapes. Tout ceci n'est pas compliqué et rien que de l'évoquer donne l'eau à la bouche.
Elle fut dégustée après une conversation, vigoureuse mais courtoise, sur le narcissisme, c'était délicieux tout en tenant bien le ventre. Cette journée s'acheva pour moi par une brève sortie dans un café où je pris un Irish Coffee et regarda un match de football.
Ce qui précède confirme la transmission familiale des goûts et des saveurs. Attendant de nouvelles impressions, je vous dis, mes chers amis, à bientôt.
dimanche 2 novembre 2014
un ancien restaurateur-limonadier de Cannes expose son métier
Chers amis internautes,
je vous présente aujourd'hui le texte d'un ancien restaurateur-limonadier de Cannes qui vous présente ce qui était son métier:
"Il est très difficile de parler d'un métier que j'ai quitté voici quinze ans. Certaines choses demeurent pourtant intangibles."
"Il faut différencier le role du patron de celui de l'employé. D'un côté, ceci est un travail de gestion comme dans n'importe quelle PME, par contre le barman doit faire preuve d'adresse et de dextérité, le serveur de vision et d'amabilité sans être trop flatteur ou servile. A ces obligations s'ajoutait la mémoire qui a été remplacée par l'informatique"
"Ce qui reste indispensable est la présentation, la propreté et la rapidité du service et un certain sens de la communication"
je vous présente aujourd'hui le texte d'un ancien restaurateur-limonadier de Cannes qui vous présente ce qui était son métier:
"Il est très difficile de parler d'un métier que j'ai quitté voici quinze ans. Certaines choses demeurent pourtant intangibles."
"Il faut différencier le role du patron de celui de l'employé. D'un côté, ceci est un travail de gestion comme dans n'importe quelle PME, par contre le barman doit faire preuve d'adresse et de dextérité, le serveur de vision et d'amabilité sans être trop flatteur ou servile. A ces obligations s'ajoutait la mémoire qui a été remplacée par l'informatique"
"Ce qui reste indispensable est la présentation, la propreté et la rapidité du service et un certain sens de la communication"
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