Internautes, fidèles et amis,
Lors d'un saut de puce en voiture à Bernay, j'ai entendu les propos d'Emmanuel Macron telles qu'elles ont été tournées par la radio France Bleu Haute-Normandie. En écoutant ce hiérarque socialiste, mon sang ne fit qu'un tour.
Les bornes du mépris social, bien et trop naturel en France, y sont dépassés. Plus de 98% de la population française est alphabétisée et la plupart des gens ont une voiture. La France n'est pas un pays du Tiers-Monde, ni un pays peuplé par des Léonarda.
Ce ne sont pas d'ailleurs des paroles de fin de repas, ni des insultes qui sont des réponses à d'autres insultes, ni des provocations, ni des paroles d'ivrogne, ni des mots de panique. Emmanuel Macron était parfaitement maître de lui même, dans l'arène publique, il adhère à ce qu'il dit, le prône et en fait des principes sacrés. J'insiste, pour les hiérarques du PS, nous sommes des Léonarda, nous sommes le Tiers-Monde.
Cela est pire. Bien que l' intelligentsia ne soit plus de gauche depuis Soljénitsine, pour un membre du PS, ce qui n'est pas de gauche est réifié, chosifié, ce qui n'est pas de gauche est un con. Ils ont complètement oublié les conseil de Mao, de déplacer dans le peuple comme un poisson dans l'eau. Evidemment, pour les magistrats d'Outreau, l'huissier, la caissière, la boulangère, le taxi sont le "quart monde". Ils ne connaissent pas la société française dans sa complexité et ses paradoxes, pour les hiérarques du PS, nous sommes Léonarda, nous sommes le Tiers-Monde.
Face à ces gens du PS, la population dans toutes ses composantes, le "peuple souverain" selon les termes de la Constitution, le peuple roi, doit être fier, et se comporter comme des rois. Nous ne sommes pas des Léonarda, ni des représentants d'un pays du Tiers-Monde.
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